BAINS-DOUCHES PARISIENS

« On fait ce qu’on peut avec les moyens dont on dispose » : pendant la canicule, les mairies font au mieux pour aider les SDF

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Il est indiqué que 17 bains douches municipaux parisiens restent ouverts toute la journée. Cela doit surement être dans un monde parallèle. Car cela fait déjà 4 ans, que les horaires ont changé. Et que la plupart ferment à midi. Seules 2 ou 3 restent ouverts l'après-midi. Mais plus souvent deux, voire un.. Et les horaires de fermetures annoncées, ne sont pas du tout respecter. Celà fait déjà un bout de temps, que la mairie de paris doit faire l'objet de poursuites judiciaires pour dégradations et fermetures volontaires de biens et services publics. Et de maltraitances envers un public fragile. Du reste les dernières mesures gouvernementales prennent également le chemin de la déreconstruction de nombreuses personnes en très grande détresse. Par principalement la faute à des services publics, qui ne les ont pas aidés comme il fallait. Mais bien au contraire, intimidés, dégoûtés, menacés et faient peurs. Les sdf et précaires ont régulièrement affaire à de vrais malades mentaux et des intermédiaires extrêmement malhonnêtes. Qui ne sont pas là pour les aider. Et je n'ose pas imaginer ce qui se passe par derrière.

Pour revenir aux bains douches, il faut savoir qu'ils sont encore dirigés par le...service des sports. Il n'est donc pas rare de voir de la publicité pour des organisations sportives ou des associations à l'intérieur de ces locaux. Nombreux bains-douches ont fermé. Et la plupart sont très mal entretenus. Souvent sales. Les bains-douches de paris sont une honte absolue. Et le symbole de cette mairie insultante. Les deux seules qui sont propres auraient des problèmes réguliers de chaufferies. Autant dire, que peu de gens ont envie de prendre des douches froides. Même en été.

La plupart des services de la mairie de paris sont gangrénés, par ce que certains employés appellent une mafia. Il y a de nombreuses mauvaises surprises. Je connais de nombreuses personnes âgées, qui ne voulaient même pas donner une photocopie de leur carte d'identité. C'est pour dire, ce qu'ils avaient dû apprendre.